Quasi voisin du Bookworm sur Rivington Street (les deux endroits ne sont distants que de 200 mètres), et tenu par la charmante Abigail Goldwish, Verbena urbaine de son état, le Sweet Dove est un cabaret à la française qui cache en son sous-sol une fumerie d’opium. Il compte en tout quatre “étages”: la fumerie, le rez-de-chaussée/cabaret, le premier (chambres) et le grenier (reconverti en chambres, salle de détente, et appartements personnels d’Abigail).
Parmi ses habitués, on compte bien entendu Abigail, Veig Cargill, et Pierre Dirac, ainsi que quelques membres de la Royal Challenge Society; mais tout le monde y est le bienvenu… à condition de respecter un certain standing tant au niveau du comportement que de l’habillement. C’est que l’on n’est pas dans un bouge de Limehouse, ici.
Bien qu’une clientèle surnaturelle le fréquente régulièrement, elle est suffisamment discrète pour que Abigail Goldwish puisse se permettre de n’avoir pour l’instant “que” du personnel Dormeur. Les employés permanents sont:
“Les filles”:
- Anna et Betty (deux soeurs), Cynthia, Ruth, Judy, Amy, Fiona, qui font le service et montent parfois sur scène (jamais plus de 7 en même temps)
- Tina, Susan et Molly, chanteuses en plus de serveuses
- Polly (au vestiaire)
- Nancy et Sandy, qui s’occupent de la cuisine, et aussi du service, en fonction de la demande.
“Les gars”:
- James, le pianiste, qui a une tendance à bégayer
- William, le barman
- Curtis, Duncan et Abraham, qui gèrent la fumerie à opium et se chargent de faire vider les lieux aux “gens à problèmes”.
Il est possible que dans un avenir proche, le Sweet Dove en vienne aussi à être considéré comme un terrain de l’Elysium.